Périple Poulidor 2023

Ch’ti CR illustré de la sortie annuelle du club.Après la formule en « fleur » (sortie autour d’un point fixe / hôtel) de l’an dernier dans les Pyrénées, c’est le tour de l’itinérance. Sortie club oblige, le rythme sera celui qui permet à tous (14 motivés 😁) de suivre - un peu de guerre dans les montées (pas tant que cela) et tout le monde s’attend pour progresser avec casse croute au cul du camion à midi. 1 thématique « hommage Poupou » (étape du TdF hommage oblige) et 3 étapes (dont j’ai assuré le tracé pour le club) donc au programme :

Étape 1 St Léonard (Village de Poulidor) -> Orcival sur un trajet qui tâche de coller à l’étape pro des Messieurs (St Léo - Puy de Dôme). La première partie colle bien, puis lorsque les pros reprennent la « grande route » après Crocq on s’en éloigne et ne contournons pas le Puy de dôme par l’Est mais par l’Ouest ; nous partons vers le puy de dôme par le col de Ceyssat, passons de devant le point de départ de la montée (impossible pour nous - route fermée) et redescendons vers Orcival via le col de la Moreno
Bilan 204 Km et D 3580 m
www.strava.com/routes/3086374089509283466

Étape 2 Orcival -> Argentat sur un trajet qui colle à l’étape pro des dames (Clermont - Mauriac). Idem, en évitant les grands axes. Parce qu’il faut 4 chauffeurs mini par jour (2 véhicules = 2 chauffeurs, qui changent à 1/2 parcours donc 4), je ne fais pas le départ (je gère le casse croute du groupe) et démarre ma journée à Saignes (au lieu donc d’Orcival)
Bilan 95 Km et D 1550 m
www.strava.com/routes/3067955056737126672

Étape 3 Argentat -> Boisseuil. Le prévisions météo sont très incertaines et nous court-circuitons (hélas) la boucle du Bol d’Or des Monédières (gagné 2 fois par notre Poupou) pour filer plus vite vers le Col de Lestards et arriver juste avant la pluie… Pas si mal calculé car c’est, qqes secondes après la pancarte de la commune, le moment qu’une belle averse choisit alors pour nous baptiser… De quoi mouiller l’extérieur mais pas en profondeur (pieds secs). Personne ne se plaint car, la semaine d'avant, était prévu le déluge sur trois jours - donc difficile de se plaindre de 3 min 😎
Bilan 138 Km et D 2304 m
www.strava.com/routes/3068209014783448336

Total du périple pour moi : 437 Km

Plein de belles images en tête avec les copains (Stam nous a bien manqué... 😔) et, comme il se doit pour terminer, après avoir tout jeté dans la machine à laver :

étape 1 :

Le départ (groupe + qqes accompagnants des premiers km)

Un premier Col pour s'approcher du Puy de Dôme

Un second pour repartir vers notre arrivée du jour

étape 2 :


Le matin, c'est mon tour d'être accompagnateur et de gérer le casse croute à venir

Je reprends le vélo juste après le café

étape 3 :


Au passage selfie à l'insu de mon plein gré devant le légendaire "chez Gilou" (rebaptisé depuis) à Gare de Corrèze 😁

Dernier col, dernier casse-croute...

Superbe rando !

Concernant les fromages, j'apprécie beaucoup le Gaperon également :-) mais de préférence assez jeune.

Je suis grand amateur de fromage... c'est un de me péchés mignons 😅. Là j'ai fait tradi pour que ça convienne à un maximum : cantal, St Nectaire, Fourme... en me garantissant d'une production locale (je pensais pas d'ailleurs que la fourme allait si loin en territoire)

Très bon le gaperon 👍 - c'est vrai que "bien fait", ail oblige, il garanti une haleine... hum hum... pas top top pour draguer 🤣

Merci pour ce CR !
Je vois aux tenues que même sans trop de pluie, il vous a manqué un porte-bonheur pour la météo...
>7000m D+ en 3 jours, avec un vent qui a dû vous saouler au moins le 1er jour, chapeau !

pasqup01 écrit:

Je suis grand amateur de fromage... c'est un de me péchés mignons 😅. Là j'ai fait tradi pour que ça convienne à un maximum : cantal, St Nectaire, Fourme... en me garantissant d'une production locale (je pensais pas d'ailleurs que la fourme allait si loin en territoire)

En termes de provenance du lait, aussi bien que de cahier des charges d'alimentation / races des vaches, les AOP auvergnates sont une véritable escroquerie, à laquelle seul le Salers fait (relative) exception. Rien à voir avec les fromages alpins. Heureusement que les process de fabrication et conditions d'affinage mis en oeuvre par les bonnes laiteries / les bons producteurs fermiers sauvent la face.