Ventoux - Beaumes de Venise

Je ne suis même pas sûr qu'il y a 5 points d'écart entre une 3° et 4° place... par contre un petit trophée de plus aurait été la cerise sur le gâteau de cette belle journée :-) (et dimanche avec le col Herbouilly en fin de parcours je suis presque certain qu'on n'arrivera pas au sprint)
Au rayon des "bonnes" nouvelles je discutais avec le leader de ma catégorie après la remise des prix, et visiblement il n'aura pas le temps de poursuivre sa saison dans le GT... suivant où je me trouve dans le classement y'a peut-être moyen de chopper le maillot de leader dès dimanche prochain

Les premières photos sont là... devinez qui j'emmène au sommet

ben ça alors !!!!!!!!!!

































tu n'as pas les cheveux longs et roux ????????

albator83 écrit:

Les premières photos sont là... devinez qui j'emmène au sommet

Trop la classe !!!

Moi j'aime bien le petit rictus de Magda !!!

Ivan

j'avoue qu'en voyant le photographe j'ai "posé" quelques secondes, histoire de ressembler à quelque chose sur la photo... mais à cet endroit on ne se marrait pas des masses :-D.

@ philbon : rigole pas... quand j'étais gosse c'était le cas (blond vénitien tendance roux), mais plus maintenant

Punaise, c'est un résultat d'enfer Rodolphe.
Ma grand-mère habitait au pied des dentelles (Le Pègue), ça grimpe dur tout le coin, le soleil + parfois un fort vent : pas facile tout çà. Tu attendais avec impatience ce type de relief.

En plus, tu choisi toujours aussi bien tes co-équipier(e)s comme d'habitude.

Bravo également à Firelade07 sur un terrain où il semble moins à son avantage .

sur une montée sèche du ventoux...vous êtes proche des 1h10-1h15 alors
quand je vois que vous estimez votre montée a 1h20 en situation course

Une petite photo de ma pomme (en descente car lorsque je suis passé devant le photographe dans le Ventoux, je mangeais une barre, j'ai une tête de débile:lol: ).
A noté Sander Smits dans ma roue (qui ne devait pas être dans un bon jour).

Mon meilleur temps dans le Ventoux par Bédoin c'est 1h15. Je suis bon grimpeur, mais pas un pur grimpeur comme Albator (ma spécialité c'est le CLM), mais j'aime me faire mal sur des cyclos avec du dénivelé

lulu écrit:

sur une montée sèche du ventoux...vous êtes proche des 1h10-1h15 alors
quand je vois que vous estimez votre montée a 1h20 en situation course

Pour donner une idée Albert vaut 1h09 je crois

skippy écrit:

lulu écrit:

sur une montée sèche du ventoux...vous êtes proche des 1h10-1h15 alors
quand je vois que vous estimez votre montée a 1h20 en situation course

Pour donner une idée Albert vaut 1h09 je crois

déjà dans un délais 1h20-1h30 cela deviens costaud ...mais alors 1h15
1h09 c'est le temps des vainqueurs de ces dernière année sur la montée sèche avec des anciens pro dans le paquet
moi je vais essayé en août de descendre en dessous de 1h40 ....j'adore ce genre de défit personnel .

disons qu'avec 100 bornes à faire derrière faut gérer un minimum, sinon c'est craquage assuré dans le final... sur la fin j'en ai gardé un peu sous la pédale, mais pas tant que ça finalement (les meilleurs cette année sont montés en 1h08' pendant l'épreuve).
quant à Smits il était déjà en retrait l'an passé : il n'est jamais excellent à cette époque, par contre début juillet... il cartonne (8° à la Marmotte 2010 je crois) :-)

Fireblade07 écrit:

Personnellement je ne vois pas de mal à faire des cyclos avec des élites ou des anciens pros. Dans d'autres sport comme le triathlon ou le marathon, il y a tous les niveaux au départ, pourquoi cela ne devrait pas être la même chose en cyclisme??
Par contre j'attache de l'importance à l'état d'esprit, il est important de garder l'esprit convivial des cyclos, et que les élites ou pros participants adhèrent et respectent ces valeurs.

100% d'accord. Je préfèrerais 100 fois terminer "dans le paquet" d'une cyclo avec des gros bras qui sont venus jouer le jeu, en respectant l'esprit et en prenant les relais, que "faire une place" dans une cyclo parasitée par des gars venus prendre les roues.
En plus, j'imagine qu'il existe chez les costauds une forme de "code" qui permet d'organiser plus facilement les choses, non ?

disons que quand il faut prendre les relais, les ex-pros ou les plus costauds/habitués ne sont jamais les derniers à mettre le nez à la fenêtre
d'ailleurs ça m'embêtais un peu de ne pas pouvoir relayer aussi fort que le gars de Chamrousse présent dans notre groupe (Ostian)... car c'est lui tout seul -ou presque- qui nous a ramené sur les trois de devant avant et après le ravito (dans le col de Veaux j'étais aplati sur ma machine tellement j'étais à bloc).

je me demandais justement .....comment ravitailler sans perdre le groupe qui passe ce même ravitaillement a fond ,maintenant je comprend mieu...sois il faut être drôlement fort ou avoir une locomotive pour la jonction.ou peut être attaquer avant le ravito ,faire le plein et repartir .

albator83 écrit:

disons que quand il faut prendre les relais, les ex-pros ou les plus costauds/habitués ne sont jamais les derniers à mettre le nez à la fenêtre
d'ailleurs ça m'embêtais un peu de ne pas pouvoir relayer aussi fort que le gars de Chamrousse présent dans notre groupe (Ostian)... car c'est lui tout seul -ou presque- qui nous a ramené sur les trois de devant avant et après le ravito (dans le col de Veaux j'étais aplati sur ma machine tellement j'étais à bloc).

Lors de notre dernier tour su Lac, je discutais avec un peu grimpeur, 55 kilo tout mouillé. Il m'a fait part de son embêtement à ne pas pouvoir le nez à la fenêtre. Du coup il se fait engueuler lorsque la pente arrive et qu'il largue ses coreligionnaires qui l'ont tiré jusque là !!!

Hé ou à chacun ses qualités

Ivan

lulu écrit:

je me demandais justement .....comment ravitailler sans perdre le groupe qui passe ce même ravitaillement a fond ,maintenant je comprend mieu...sois il faut être drôlement fort ou avoir une locomotive pour la jonction.ou peut être attaquer avant le ravito ,faire le plein et repartir .

tout dépend de la situation du ravito, et de la forme ! quand il est au sommet d'une ascension je visse un peu sur la fin, et fais la descente à bloc... en général ça passe.
sinon quand les écarts sont faibles et les paquets importants (comme au Granfondo Colnago) je grille le ravito et rationne la flotte restante : mais ça ne marche pas sur 150 bornes en pleine chaleur
d'une manière générale les cyclos que je fais sont suffisamment longues et difficiles pour que les écarts soient importants après 100 bornes de course (je tiens généralement jusque là avec mes 2*750mL), donc la minute perdue en haut ou en bas d'un col n'est pas trop pénalisante.
même aux Trois Ballons où j'ai perdu un bidon dans la première descente j'ai réussi à recoller au paquet (descente "holiday on ice" sur route mouillée, au cul des voitures suiveuses) malgré un arrêt imprévu après 50 km... et la suite s'est bien goupillée, puisque mes parents (en voisins) étaient au bord de la route les 50 derniers km pour me donner à boire et ramasser le trop plein d'affaires

un petit point sur le classement du Grand Trophée des moins de 30 ans, après trois épreuves disputées (deux pour Fireblade07 et moi) :

www.sportcommunication.info/web2010/resultat.php...rs=11&cat=C&langue=1

et le leader ne courra pas dans le Vercors apparemment (j'en discutais avec lui samedi dernier)... finalement on va peut-être remonter plus tôt que prévu dans le classement (actuellement 2° et 3°)