Circus écrit:
ASO est une machine à fric à qui ont devrait rappeler qu'elle utilise un bien public payé avec l'argent des contribuables (les routes) et qui fait son fric sur un patrimoine nationale (les paysages) qui est un "bien commun".
On marche quand même sur la tête : ASO arrive à se faire payer par les villes étapes (ce qui se répercute sur les impôts) alors que c'est elle qui privatise un bien public et génère des nuisances et des contraintes.
C'est vrai pour tou
tes
les pompes à fric les sports : structures de formation des jeunes, bénévoles, stades de foot/rugby/tennis, tout ça c'est public/associatif (puisque ça ne rapporte rien) ; on fait même des partenariats public-privé pour que le privé donne l'illusion de co-financer des infrastructures dont la construction sera faite par le privé, le financement partagé (... mais bien sûr

...) et l'exploitation concédée au privé

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On vit une époque formidable, où l'intervention du secteur public dans l'économie est interdite... sauf quand ça perd du pognon, dans ces cas-là les vannes peuvent être grandes ouvertes.