Depuis septembre, je suis accompagné par une diététicienne pour plusieurs raisons : perte de poids durable (tendance prononcée à faire le yoyo) et des ennuis gastriques qui duraient depuis 2 mois dont personne ne trouvait l'éventuelle cause (malgré des examens médicaux en tous genres).
D'où l'idée tardive (mais il n 'y a que les c*** qui ne changent pas d'avis) de m'orienter davantage vers la problématique de nourriture/nutrition.
La méthode d'alimentation vers laquelle elle m'a orienté correspond en tous points à celle décrite dans cet article. Rassurez-vous, cela ne va fait pas de moi un cheval de course, mais l'efficacité sur le brûlage des graisses, malgré une activité physique modérée (environ 5h en moyenne par semaine), est avérée. Ma perte de masse grasse cumulée est de 7kgs ( je pars de loin : poids de départ 100kg en septembre / poids de forme visé 86kgs car j'ai une ossature très très au dessus de la norme), avec une accélération en novembre : en effet, il faut le temps que le métabolisme se "purge" puis apprenne à fonctionner comme il est souhaité/décrit.
Au niveau alimentaire, pas de privation, j'ai le droit à tout en évitant tout ce qui est transformé (ce qui est la base pour des athlètes comme la plupart d'entre vous). En ajoutant à cela une augmentation de la consommation de poissons gras et aliments riches en bons oméga, et diminution de la quantité de féculents au profit des légumes. Finalement, quelque chose de facile à suivre, et qui n'a rien d'un régime contraignant.
Au niveau sportif, je n'ai pas de retour sur du long pour le moment, confinement oblige, mais sur du court (<=2h), je suis très à l'aise en termes d'apports, mieux que je ne l'étais fin août début septembre avec quelque chose de très classique.
PS : je ne suis pas un habitué de la diététique et mon hygiène de vie/niveau d'entrainement sont bien en deçà des vos pratiques habituelles. L'effet n'en est que plus important très probablement.