albator83 écrit:
Perso quand j'enchaîne les jours de course je veille toujours à décrasser... soit sur route après course (ex : l'Arvan-Villards est très bien foutue pour ça), soit sur HT quand le terrain ne s'y prête pas (typiquement, samedi prochain aux Deux-Alpes après la cyclo et avant la grimpée du lendemain).
L'effet n'est pas que psychologique... quand on n'a pas de masseur à dispo c'est indispensable
D'accord avec toi pour tout le reste : pour la lisibilité de la course il faudrait tout simplement décaler les départs, pas de choix dans les parcours et basta... ça se fait de plus en plus, et tant mieux je trouve.
Quant à Jérôme Phanon... certainement parmi les tous meilleurs grimpeurs du plateau, mais il a tellement de lacunes en descente et en plaine qu'il n'arrivera jamais à en gagner une.
oui je taquinais pour l'effet récup...surtout que ça fait bien longtemps que je n'ai plus trop enchainé les jours de course d'affilé mais avant je faisais souvent soit des doubles we de cross, soit des tours...et je ne rechignais pas à rouler un peu après l'épreuve.
finalement les pros s'y sont mis mais y'a rien de nouveau (à part le fait que c'était pour eux chiant à organiser) même dans mes premières années de vélo qd je n'y connaissais rien chez les jeunes j'entendais déjà parler de ça de la part des éducateurs/entraineurs.
pour Phanon ça doit surtout être mental/technique (pas envie de frotter, laisser des écarts, etc...), vu le moteur du coco la plaine il doit envoyer qd même un minimum qd il roule. je vois même les pires gabarits, David avec ses 50 kg il envoie fort sur le plat qd il veut (cf sa finale de la Route Verte, il fait un gros numéro solo sur le plat)....il ferait 2/3 hivers de CX un peu sérieux (= en s'appliquant et en courant régulièrement y compris sur les circuits techniques dans les mauvaises conditions météos) ce serait réglé une bonne fois pour toutes...