Freins à disque sur vélo de route

Fredhamster écrit:

Zeo écrit:

Je ne peux m'empêcher de lire cette discussion avec un petit sourire narquois et satisfait 😉

Difficile de rester sur le patin lorsqu'on change de vélo...
Si je fais le bilan, je dirais que ça permet d'avoir un freinage aussi efficace que le patin sur jante alu, sans plus.
Sous la pluie ça couine et ça freine beaucoup moins bien que sur le sec également.

Sinon, je vais nettoyer le disque en profondeur et j'ai commandé de nouvelles plaquettes shimano...

Ben si, tu rachete un vélo à pas cher d'occasion.

Sur le campus, je commence à voir des vélos en carbone à patins qui servent de vélotaf. Les étudiants ont du récupérer l'ancien vélo "patins" à papa...

Pfff ! P**** de société de consommation à la c** !

Achète, achète, achète...

Bonne question pour le bac... l'ennui c'est que pour faire rentrer un disque de 140/160 dedans, ça fait déjà une certaine capacité. Donc un bac US pas donné.

Une idée : tu fais rouiller ton disque. La saloperie partira avec la corrosion dès les premiers freinages...

Content que tu aies pu résoudre ton problème mais sans vouloir polémiquer je suis quand même surpris que les plaquettes soient si facilement contaminables.

Typiquement je n'ai jamais entendu parler de tels problèmes en mécanique auto où pour le coup l'exposition à des projections d'huile est plus probable.

Bref, immanquablement un jour je viendrai aux disques... mais le plus tard sera le mieux!

La contamination des plaquettes de frein auto existe bel et bien. Ça arrive typiquement lorsque tu perds de la graisse via un soufflet de cardan éventré.

Par contre, vu le volume de la garniture, il faut y mettre une sacrée quantité de corps gras pour les rendre inopérantes

Peut-être une question de dimensionnement et de ratio volume contaminé/volume de garniture? Il y a beaucoup moins de garniture sur une plaquette de vélo (épaisseur, surface) que sur une plaquette de voiture.

Tu as aussi de la contamination avec les patins ou les jantes : morceau de métal incrusté dans la gomme, corps gras ou dépôts sur la surface de freinage, etc... C'est une maintenance ou une recherche de panne différente qu'il faut apprendre.

Pour moi, les principaux inconvénients sont plutôt du côté de la taille des manettes (en version méca) et l'usure importante des plaquettes. En trois ans de disque sur route, j'en suis à mon troisième jeu de plaquette à l'arrière (disque en 140) et deuxième à l'avant (disque en 160) (et je roule plutôt peu, je suis autour des 80 kg en ce moment), 0 purge, 0 nettoyage spécial ou dévoilage de disque (2 paires de roues). Pour le même usage, je pense que je n'aurai pas usé un jeu de patin.

david38 écrit:

Peut-être une question de dimensionnement et de ratio volume contaminé/volume de garniture? Il y a beaucoup moins de garniture sur une plaquette de vélo (épaisseur, surface) que sur une plaquette de voiture.

Tu as aussi de la contamination avec les patins ou les jantes : morceau de métal incrusté dans la gomme, corps gras ou dépôts sur la surface de freinage, etc... C'est une maintenance ou une recherche de panne différente qu'il faut apprendre.

Pour moi, les principaux inconvénients sont plutôt du côté de la taille des manettes (en version méca) et l'usure importante des plaquettes. En trois ans de disque sur route, j'en suis à mon troisième jeu de plaquette à l'arrière (disque en 140) et deuxième à l'avant (disque en 160) (et je roule plutôt peu, je suis autour des 80 kg en ce moment), 0 purge, 0 nettoyage spécial ou dévoilage de disque (2 paires de roues). Pour le même usage, je pense que je n'aurai pas usé un jeu de patin.

Attention, il y a les plaquettes resines qui s'usent très vite et les plaquettes metal qui s'usent beaucoup beaucoup moins vite. Chacune à ses avantages/inconvénients.

Il y a les garnitures semi-métalliques aussi, n'est-ce pas ?