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Grand raid (ex-cristalp)
- Lafoy
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Je pensais essayer en Gravel
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- jfd_
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- sandatos
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Par contre pour le fun ça peut être sympa.
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- Gawain
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Euh... oui... Pense quand même à demander son avis au seul qui l'a fait en gravel actuellement, Amel Donnet (krachy sur VV)
Ce jour là, de mémoire, ils étaient deux.
\\\\\\\"When I see an adult on a bicycle, I do not despair for the future of the human race.\\\\\\\"
H. G. Wells
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- vinssout
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Euh... oui... Pense quand même à demander son avis au seul qui l'a fait en gravel actuellement, Amel Donnet (krachy sur VV)
Ce jour là, de mémoire, ils étaient deux.
Yves corminboeuf aussi !
Et de mémoire ils étaient plantés à la piste. Je me suis dis ce jour là qu'en fait le vtt c'est encore le mieux même pour faire de la piste.
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- Lafoy
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Ils y en a qui essayaient en mono roues aussi il y a une 10/15 ans je me souviens
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- Cricridamour
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Grace à toi, je sais qu’une tige de selle télescopique peut servir même sur le Grand Raid ! (Ce serais bien d’en avoir aussi besoin dans la descente des Collons=>Hérémence ou encore celle d’Evolène, mais bon ,faut pas rêver…)
Quant au DNF, pas de bol de tomber malade juste pour cette course, mais avec deux chutes, c’est déjà un signe que ce n’était pas ton jour.
Pourquoi ne pas te lancer une fois depuis Nendaz ?
Et pour le vélo gravel, j’aimerais quand même qu’on m’explique à quoi ça peut servir…
A+
Cricri
Mon blog: christophequibouge.wordpress.com/
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- jfd_
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Pourquoi je ne suis jamais parti d'autre part que Verbier? Tu n'es pas le premier à (me) poser la question. En fait, je ne fais pas cette course pour faire un chrono. Non. C'est tout autre chose. Le GRC (puisque c'est comme cela qu'il s'appelait à l'époque à la fin des années 90) est quelque chose qui m'a servi d'objectif pour appréhender & apprendre le sport plus intensif que la balade dans mon contexte de diabétique insulino-dépendant. En fait, j'ai découvert cette course lors d'un déplacement pro en Suisse (set de table du restaurant 'Le Jura' à Neuchâtel en 1997). En pensant de prime abord : ils sont tarés ceux qui se lancement là dedans. Mais en parallèle, avec une forme d'envie toutefois. Envie qui dans ma tête prend la forme de vouloir faire un bras d'honneur à ce fichu compagnon de vie forcé qu'est le diabète (et puis, cet objectif n'est pas mal tombé calendairement parlant à l'époque, sortant d'une séparation quelque peu douloureuse). Mais il me fallait prendre le temps d'apprendre les réactions du diabète sous effort physique long car il n'a jamais été question de me mettre en danger sur ce plan-là. J'ai pris 5-6 ans avant de me pointer la première fois à Verbier en 2003 pour relever le défi. J'ai pleinement réussi le défi pour la première fois en 2007 en arrivant à Grimentz sur deux roues (et fourche suspendue bloquée depuis le Mandelon
Alors, avec mon petit niveau de m*****, si je pars d'ailleurs que de Verbier, ben, il n'y a pas vraiment le défi de faire le bras d'honneur au diabète que je recherche : je suis sur d'arriver. Enfin... sauf si ou mal au bide comme cette année ou aléa météo (neige en 2005, pluies diluviennes en 2006, orage importants en 2013). C'est ce défi vs diabète qui est ma motivation première bien avant de faire un temps.
L'autre raison pour laquelle je pourrais peut-être envisager de partir d'ailleurs que de Verbier, c'est que j'aille faire la semaine suivante le marathon de Scuol.(je l'ai fait en 2012 mais juste lui).
Cet objectif qu'à été pour moi le GRC fait que j'ai tissé avec cet évènement une forme d'addiction (d'affection?) que je ne sais pas pleinement expliquer et qui peut paraitre bizarre. Mais c'est juste la réalité des choses pour ma pomme.
Voilà en clair la raison pour laquelle je pars de Verbier et pas d'ailleurs.
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- Cricridamour
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Pour la TdS télescopique, tant qu'il n'y avait pas le bikepark de la Tsoumaz, je ne pense pas qu'elle soit des plus indispensables. La descente des Collons sur Hérémence peut se gérer sans, c’est clair. De même que la courte descente à l'arrivée à Nendaz.
Pourquoi je ne suis jamais parti d'autre part que Verbier? Tu n'es pas le premier à (me) poser la question. En fait, je ne fais pas cette course pour faire un chrono. Non. C'est tout autre chose. Le GRC (puisque c'est comme cela qu'il s'appelait à l'époque à la fin des années 90) est quelque chose qui m'a servi d'objectif pour appréhender & apprendre le sport plus intensif que la balade dans mon contexte de diabétique insulino-dépendant. En fait, j'ai découvert cette course lors d'un déplacement pro en Suisse (set de table du restaurant 'Le Jura' à Neuchâtel en 1997). En pensant de prime abord : ils sont tarés ceux qui se lancement là dedans. Mais en parallèle, avec une forme d'envie toutefois. Envie qui dans ma tête prend la forme de vouloir faire un bras d'honneur à ce fichu compagnon de vie forcé qu'est le diabète (et puis, cet objectif n'est pas mal tombé calendairement parlant à l'époque, sortant d'une séparation quelque peu douloureuse). Mais il me fallait prendre le temps d'apprendre les réactions du diabète sous effort physique long car il n'a jamais été question de me mettre en danger sur ce plan-là. J'ai pris 5-6 ans avant de me pointer la première fois à Verbier en 2003 pour relever le défi. J'ai pleinement réussi le défi pour la première fois en 2007 en arrivant à Grimentz sur deux roues (et fourche suspendue bloquée depuis le Mandelon
Alors, avec mon petit niveau de m*****, si je pars d'ailleurs que de Verbier, ben, il n'y a pas vraiment le défi de faire le bras d'honneur au diabète que je recherche : je suis sur d'arriver. Enfin... sauf si ou mal au bide comme cette année ou aléa météo (neige en 2005, pluies diluviennes en 2006, orage importants en 2013). C'est ce défi vs diabète qui est ma motivation première bien avant de faire un temps.
L'autre raison pour laquelle je pourrais peut-être envisager de partir d'ailleurs que de Verbier, c'est que j'aille faire la semaine suivante le marathon de Scuol.(je l'ai fait en 2012 mais juste lui).
Cet objectif qu'à été pour moi le GRC fait que j'ai tissé avec cet évènement une forme d'addiction (d'affection?) que je ne sais pas pleinement expliquer et qui peut paraitre bizarre. Mais c'est juste la réalité des choses pour ma pomme.
Voilà en clair la raison pour laquelle je pars de Verbier et pas d'ailleurs.
Oui, je comprends bien, et suis tout-à-fait d'accord: il faut se fixer des objectifs. Les atteindre après beaucoup d'efforts est très gratifiant. Alors aligner des DNF n'est-il pas contre-productif?
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Cricri
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- jfd_
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Pour Grindelwald, je pense que ce que tu as mis dans le sujet dédié est tout à fait exact . Un des deux raisons qui expliquent que ma tête ait lâché était que j'avais vraiment comme objectif principal le GR (la seconde étant l’enchainement de plusieurs heures sur la journée en étant border-line hypoglycémie avec gestion un peu plus compliquée de la pompe à insuline et de l'alimentation).
Après, si tu ne fais pas allusion à cela, quoi qu'il en soit, vu ce que je recherche, le DNF, ben, si je peux éviter, j'évite bien sur. Mais aucun DNF, même en cas de plusieurs n'est/ne sont source de démotivation pour moi. Je sais, je suis décalé mais voilà
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- Cricridamour
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Quand tu parles d’enchainer les DNF, tu fais allusion Grindelwald et ici?
Pour Grindelwald, je pense que ce que tu as mis dans le sujet dédié est tout à fait exact . Un des deux raisons qui expliquent que ma tête ait lâché était que j'avais vraiment comme objectif principal le GR (la seconde étant l’enchainement de plusieurs heures sur la journée en étant border-line hypoglycémie avec gestion un peu plus compliquée de la pompe à insuline et de l'alimentation).
Après, si tu ne fais pas allusion à cela, quoi qu'il en soit, vu ce que je recherche, le DNF, ben, si je peux éviter, j'évite bien sur. Mais aucun DNF, même en cas de plusieurs n'est/ne sont source de démotivation pour moi. Je sais, je suis décalé mais voilà
Il était une fois un ultratraileur que je connais qui a enchainé 4 DNF d’affilée. Et pourtant il était expérimenté, finisher de plusieurs ultras de 100 et 170 km, après s’être aguerri sur des formats plus courts de 80 à 100 km, puis avoir bouclé un 210 km. 4 DNF en 13 mois : une spirale démoralisante, malgré que le but n’a jamais été le classement, mais uniquement terminer la course.
Ce traileur a donc décidé (sur les bons conseils du Jedi Cricri entre autre ) de se relancer pendant deux ans sur des courses un cran en dessous : 80 à 100 km. Courses qu’il a à chaque fois terminées, en bonne condition et avec du plaisir. Dans son esprit, ce n’était pas un retour en arrière de quelques années. Cela lui a permis de reprendre confiance, d’affiner les protocoles ravitos-hydratation-gestion du sommeil. Et d’oublier le « de toute façon je ne vais pas y arriver » tapi sournoisement dans un recoin sombre de son cerveau avant le départ.
Puis ce traileur est reparti sur des formats plus long. Avec succès.
Moralité :
Un pas en arrière permet de prendre plus d’élan et sauter plus loin.
A+
Cricri
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La différence est que je ne suis aucunement avec le moral en baisse, mais alors vraiment pas
Cette année, pour être tout à fait franc sur ce GR, je n'avais nullement tapis dans un coin sournoisement le "De tte façon, je ne vais pas y arriver". Très clair pour moi. Il est cependant vrai que l'an dernier, j’étais parti, en toute conscience vu le contexte boulot, avec la certitude que je n'irai pas au bout par contre.
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